L’effet de seuil | volet 1 :
La mise en abîme
la mise en abîme, c’est un duo entre une géo-chimiste et une chorégraphe. On y expose la recherche sur les diamants et le manteau profond mené par Émilie pendant sa thèse, pour y faire quelques détours sur les réalités féministes et géo- politique du secteur, en passant par la réception poétique et existentielle de nos présences au monde.
c’est une co-existence des mondes souterrains et quotidiens, poétique et scientifique, abstrait et narratif. On y parle soubassements, diamants, terre profonde, invisible et inconnu,…
Un palimpseste sonore et visuel d’humour et de recherches pour répondre aux questions de ce qui sous-tend notre existence, ce qui est caché en dessous, ces histoires qui parviennent au seuil de notre conscience grâce aux récits de la science et au sensible de la danse.
L’effet de seuil | volet 2 :
Le procédé d’inversion
Après être allé chercher du côté des mondes souterrains par son aspect géologique et scientifique dans la mise en abîme, le procédé d’inversion prend le parti des créatures invisibles qui nous entourent, naviguant aux pourtours de nos vies.
Pensé pour quatre interprètes danseur·euse et chanteur·euse, c’est en création in-situ que nous ferons surgir des êtres aux frontières de l’humain, au abords des mondes et au coeur du vivant.
S’inspirant du travail anthropologique et photographique de Charles Fréger, les silhouettes des interprètes, créé par le costumier Loïs Heckendorn auront un effet visuel en grand décalage avec leur environnement. Penser pour un cadre hors boite noire, le procédé d’inversion est une création dont la spécificité est de jouer dans des lieux (intérieurs ou extérieurs) où le public est placé en surplomb de l’espace de jeu : fosses, falaises, cour d’école, église, lieux patrimoniaux, musées et leurs coursives, passerelles, piscines vides, usines abandonnées, lieux archéologiques,… Ce n’est donc pas tant la teneur symbolique ou atmosphérique de l’espace qui nous intéresse ici mais le point de vue du spectateur observant les mondes souterrains lui faisant face sous ses pieds.. avant d’être inversés !
Le travail se focalisera dans les corps et dans les voix. Travail vocal en polyphonies où nous irons explorer les voix graves de nos êtres, les sons, bruits, guturations et autres symphonies du vivant se cachant dans nos fréquences basses. Pensé pour voix mixtes, nous alternerons la composition musicale entre souffle du vivant et polyphonies aux références multiples (allant des musiques du monde aux chants grégoriens).
Le travail chorégraphique s’attachera à ce qui fait commun et ce qui différencie. Ce qui nous paraît normal, conventionnel, usuel, prévisible et cette part d’ombre et d’inconnu qui nous constitue également. Compositionnellement, nous partirons d’un travail d’unisson se distordant subtilement pour aller vers des individualités et personnages rituels.
Corps dissimulés, lointains, distants, s’approchant peu à peu de nos perceptions et de nos habitudes pour enfreindre le seuil des mondes. Chamans éphémères pouvant un instant faire basculer nos mondes.
Distribution la mise en abîme
Chorégraphe : Marie Desoubeaux
Texte : Émilie Thomassot
Interprètes : Marie Desoubeaux et Émilie Thomassot
Assistants mise en scène : Arnaud Ménard et Margaux Amoros
Production : Aoza production – Marion Cachan
Production : Compagnie Présomptions de Présences.
Coproductions : Dinan Agglomération, La Maison danse – CDCN Uzès-Gard-Occitanie
Accueil en résidence : Le Musée des Minéraux (Crozon); Théâtre Molière, scène nationale de Sète; Le Triangle, scène conventionnée pour la danse (Rennes); Le Centre National de la Danse (Pantin); studio le Regard du Cygne (Paris); La Passerelle, scène nationale de Saint-Brieuc
Avec le soutien de la DRAC Bretagne et du département des Côtes d’Armor (22)
Distribution le procédé d’inversion
Chorégraphe : Marie Desoubeaux
Interprètes : Margaux Amoros, Justine Lebas, Raoul Riva et Jean Hostache
Compositeur : Camille Secheppet
Costumier : Loïs Heckendorn
Production : Aoza Production – Marion Cachan
Production : Compagnie Présomptions de Présences.
Coproductions : Dinan Agglomération, La Maison danse – CDCN Uzès-Gard-Occitanie
Accueil en résidence : Le Musée des Minéraux (Crozon); Théâtre Molière, scène nationale de Sète; Le Triangle, scène conventionnée pour la danse (Rennes); Le Centre National de la Danse (Pantin); studio le Regard du Cygne (Paris); La Passerelle, scène nationale de Saint-Brieuc
Avec le soutien de la DRAC Bretagne et du département des Côtes d’Armor (22)






à venir 🐚️ 🐚️
le procédé d'inversion - Vendredi 26 septembre - 17h aux abords de la salle omnisports de Pleslin-Trigasvou - Saison culturelle de Dinan agglomération
le procédé d'inversion - Samedi 27 septembre - 18h45 - Théâtre Mosaïque à Collinée, dans le cadre de l'ouverture de saison
le procédé d'inversion - Dimanche 28 septembre - 17h au niveau du poste de secours saisonnier de la plage de Saint-Cast-Le-Guildo - Saison culturelle de Dinan agglomération
passés ⌛️️⌛️️
La mise en abîme - Festival Livres en Fêtes - Samedi 12 octobre 2024 - 18h à Dinan
La mise en abîme - Festival Signes d'automne - Vendredi 17 novembre 2023 - 20h | Soirée spéciale partenariat Regard du Cygne et Présomptions de Présences
La mise en abîme - Festival Signes d'automne - Vendredi 17 novembre 2023 - 20h | Soirée spéciale partenariat Regard du Cygne et Présomptions de Présences