R E S T E R [version blanche]
Création 2018-2019
Solo à deux voix pour Margaux Amoros et Robin Pharo
50mn
Distribution
Conception, écritures et mise en scène : Marie Desoubeaux
Interprétation, collaboration : Margaux Amoros et Robin Pharo
Lumières : Florent Pénide
Aide à la scénographie : Inès Dobelle
Regard Extérieur : Jeanne Desoubeaux
Construction décor : Céline Berchoux, Arielle Chauvel-Levy, Marie Desoubeaux, Marie-Claude Desoubeaux, Odile Desoubeaux, Inès Dobelle, Pierre-Olivier Durand, Marina Keltchewsky et Bérangère Roussel
Production Compagnie Présomptions de Présences. Avec le soutien de la DRAC Ile-de-France dans le cadre de l’aide au projet 2019; Danse Dense; Théâtre de la Ville de Paris (prêt de matériel) En résidence à Haihatus (Joutsa, Finlande), Briqueterie CDCN du Val-de-Marne, Centre National de la Danse, ArtsIceland (Isafjördur, Islande), Arènes de Nanterre, ARCADI dans le cadre de l’accueil des Plateaux Solidaires, La Générale Nord-Est
R E S T E R est un acte chorégraphique et théâtral. Il est question d’intimité, de solitude et de liberté. La liberté des fous, des solitaires, la liberté des morts. Est-il possible de vivre dans une trans-universalité des mondes ? Quelles forces en puiser ?
Dans le silence de la solitude, celle que l’on choisit ou qui s’impose par sa bienveillance ou sa nécessité, nos perceptions s’affinent et s’aiguisent pour percevoir la coexistence renouvelée de deux mondes inhérents à notre condition d’être humain :
celui quotidien, qui nous entoure et dans lequel
Dans le silence de la solitude, celle que l’on choisit ou qui s’impose par sa bienveillance ou sa nécessité, nos perceptions s’affinent et s’aiguisent pour percevoir la coexistence renouvelée de deux mondes inhérents à notre condition d’être humain :
celui quotidien, qui nous entoure et dans lequel
nous ancrons les actions de notre vie, et celui intérieur, qui se développe et s’enrichit en permanence de l’attention qu’on lui donne.
Le vide, le silence, le blanc, l’absurde rêverie, l’absurde réalité, l’humour caché au creux de ces jointures-là. Un terreau patient et porteur de vie.
Quand le silence a valeur de tout ce qui a fait bruit avant lui, quand il fait place à l’endroit où nous prenons soudainement conscience des multitudes qui nous entouraient ; il zoome, dépoussière et nous surprend dans nos intériorités.
Le vide, le silence, le blanc, l’absurde rêverie, l’absurde réalité, l’humour caché au creux de ces jointures-là. Un terreau patient et porteur de vie.
Quand le silence a valeur de tout ce qui a fait bruit avant lui, quand il fait place à l’endroit où nous prenons soudainement conscience des multitudes qui nous entouraient ; il zoome, dépoussière et nous surprend dans nos intériorités.
Vous y croyez encore ? À la percussion, des corps ?
Est-ce que vous prenez le risque ? D’y aller ? D’y aller pour rester ? D’y aller par fidélité ? Est-ce que vous prenez le risque de la collision ? Le risque de l’autre ? Est-ce que vous prenez le risque de perdre ? Vous êtes là, et puis un jour vous perdez ? Ça vous arrive ? De perdre ? De ne pas laisser les mots vous gagner ?
Est-ce que vous prenez le risque ? D’y aller ? D’y aller pour rester ? D’y aller par fidélité ? Est-ce que vous prenez le risque de la collision ? Le risque de l’autre ? Est-ce que vous prenez le risque de perdre ? Vous êtes là, et puis un jour vous perdez ? Ça vous arrive ? De perdre ? De ne pas laisser les mots vous gagner ?
Extrait de R E S T E R, Acte III
Revue de Presse
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30 janvier 2020 - Le Nouveau Gare au Théâtre - Vitry Sur Seine
4&5 avril 2019 - Le Regard du Cygne - Festival Signes de Printemps et Festival Incandescences, Paris - PREMIÈRES
20 avril 2018 - La Générale Nord-Est - Le Vin du mois - Maquette de travail, présentée avec Yoann Moulin au clavecin